Les élèves du collège Saint-Étienne dans la commune de Limete à Kinshasa ont été sensibilisés ce samedi 8 mars, à la dénonciation des violences basées sur le genre en milieu scolaire tout comme dans la communauté.
C’était au cours du rassemblement organisé ce samedi 8 mars, à l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits de la femme.
Pour Myriam Waligbia coordonnatrice du Réseau national des femmes actives pour le développement (RENAFAD), les violences basées sur le genre sont un phénomène trop présent dans la société qui touche des millions des personnes à travers le monde.
« Aujourd’hui, je me tiens devant vous pour aborder un sujet qui nous concerne tous, les violences basées sur le genre, ce phénomène, malheureusement encore trop présent dans notre société, touche des millions de personnes à travers le monde, il est temps de dire stop», a dit Myriam Waligbia
Elle ajoute :
«Les violences basées sur le genre ne sont pas seulement une question de chiffres ou les statistiques, ce sont des histoires des vies brisées, des rêves écrasés, chaque acte de violence, qu’il soit physique, psychologique ou verbal, laisse des cicatrices profondes qui peuvent durer toute une vie.»
La journée internationale des droits de la femme est célébrée cette année dans un contexte sécuritaire particulier sous le thème national : » la congolaise au centre de toutes les ambitions »
Rédigé par Moïse Adonis