La participation de la femme congolaise au processus électoral et son élection restent un casse-tête et un combat éternel pour les organisations féminines qui militent pour l’accès de la femme aux postes décisionnels.
Après un faible taux des réussites aux dernières élections du processus de 2023, les organisations féminines se déploient déjà dans la préparation du terrain pour les échéances électorales à venir (2028).
C’est à l’instar du Cadre permenant de concertation de la femme congolaise (CAFCO), qui en fait sa principale préoccupation.
Dans ce sens, ses membres ont échangé mardi 20 août avec le Président de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), sur la participation éclairée de la femme aux prochaines élections et la tenue du reste du processus électoral en cours en République démocratique du Congo (RDC)
«Notre visite fait suite à une activité que nous avons organisée dernièrement. Nous avons voulu remettre au président de la Cndh-Rdc, Paul Nsapu, le rapport de l’enquête sur la participation des femmes lors des dernières élections. Nous pensons aussi que le Cafco, en travaillant en synergie avec la Cndh, nous pouvons promouvoir la participation éclairée des femmes aux prochaines élections, que nous voulons transparentes et sécurisées pour les femmes», a déclaré Grâce Lula, coordinatrice du CAFCO.
Il y quelques jours passés, CAFCO rendu public les informations recoltées sur les diffucltés rencontrées par les femmes candidates Lord des dernières élections.
Ces informations ont attesté les faibles résultats électoraux des femmes, c’est pourquoi le CAFCO travaillent pour une prise de conscience collective sur les obstacles à la participation politique des femmes en République Démocratique du Congo et amener les uns, es et les autres à réajuster les stratégies et à mener des actions nécessaires pour relever le taux de participation politique des femmes en RDC.
Ivan Hon