Cloture vendredi 19 juillet à Goma au Nord-Kivu, de deux jours de session de formation en faveur d’une vingtaine des journalistes et acteurs des médias, organisée par le programme de promotion de soins de santé primaires.
Du 18 au 19 juillet, ces professionnels de médias ont été capacités sur les différents principes fondamentaux de redevabilité envers les populations affectés du Nord-Kivu.
Alice Aganze, superviseur SGBV et EAS au sein de cette structure, a fait savoir que les violences sexuelles deviennent un problème de santé publique, raison pour laquelle les médias doivent les maîtriser afin de bien sensibiliser la communauté à travers ses canaux de communication, dont les émissions radiodiffusées.
«Ces assises étaient inscrites dans le cadre de renforcer leur capacité par rapport aux exploitations et abus sexuels qui sont vécus dans la communauté. Nous pensons qu’avec les journalistes, c’est facile du fait qu’il a la bonne l’information qui peut atteindre la grande partie de la population en écoutant la radio et les informations orientées sur les violences basée sur le genre, abus et exploitation sexuels», a-t-elle fait savoir.
Esther Walaka, journaliste de MISHAPI Tv, s’est réjouie de cet atelier car certaines zones d’ombres sur les concepts et appréhension sur les abus sexuels et exploitation ont été éclairées.
Signalons que cette initiative est organisée dans différentes provinces dont la ville province de Kinshasa, Ituri, la Tshopo dans l’objectif d’améliorer la prévention par la réduction et l’atténuation des risques des VBG et AES.
Richard Kubuya /Goma.