Les filles de quelques communes de Kinshasa, dont en majorité les élèves, ont été sensibilisées sur les droits par l’ONG ‟Action pour le développement doré d’Afrique” (ADDA).
Cette activité a été organisée en marge de la clôture des activités de célébration de la journée internationale de la jeune fille, à laquelle ont pris plusieurs acteurs oeuvrant pour la promotion de la jeune fille.
À cette occasion, Ornella Aosa, coordonnatrice de cette organisation, a plaidé auprès du gouvernement congolais de pouvoir accompagner la société civile dans l’encadrement des jeunes filles.
«Je sollicite l’accompagnement du gouvernement dans l’encadrement des jeunes filles, car le gouvernement reste, non seulement une partie prenante, mais également un partenaire très important afin d’arriver au développement durable d’une population équilibrée», a déclaré Ornella Aosa, coordonnatrice de l’ONG ‟Action pour le développement doré d’Afrique” (ADDA) à nos confrères de l’ACP.
D’après Ornella Aosa, la jeune fille congolaise doit se connaître, s’affirmer, s’accepter et doit apporter quelque chose de bon, en sachant que sa santé mentale représente quelque chose de très capitale pour son épanouissement personnel.
Par ailleurs, elle a invité les filles à avoir une vision déterminante afin d’impacter dans l’avenir, pour la transformation de la communauté.