L’élimination prématurée de l’Association Sportive Victoria Club de Kinshasa de la Ligue des champions de la CAF a été une déception pour l’équipe et ses supporters.
Malgré le soutien de leur public au stade des Martyrs de Kinshasa, les joueurs n’ont pas réussi à marquer un deuxième but après leur ouverture du score à la 25ème minute de jeu par Héritier Imana Lote. Lors du match retour, ils ont été tenus en échec sur leurs propres installations avec un score de (1-1) face à Primeiro de Agosto.
Cette élimination marque la fin du parcours de V. Club dans la compétition pour cette saison, dès le tour préliminaire. C’est d’autant plus décevant que l’équipe avait réussi à atteindre la phase de poules lors de la saison précédente, même si elle avait enregistré 4 défaites et terminé dernier de son groupe avec 4 points.
Malgré cette défaite, il est important que l’équipe tire des enseignements de cette expérience pour se préparer en vue de prochaines compétitions. Il est clair que des aspects doivent être améliorés, notamment en termes de compétitivité des joueurs. Le championnat étant arrêté définitivement depuis longtemps , cela peut expliquer en partie le manque de préparation et de rythme de jeu de l’équipe.
Certains observateurs du ballon rond soulignent également le manque de rigueur dans l’organisation des clubs congolais. Selon eux, cela va des recrutements à l’administration en passant par la gestion de la politique de vente des joueurs. Il est donc crucial pour V. Club et les autres clubs congolais de travailler sur ces aspects pour améliorer leur compétitivité sur la scène continentale.
L’élimination précoce de V. Club de la Ligue des champions de la CAF est une déception, mais elle offre également une opportunité d’apprentissage pour l’équipe. Il est essentiel de tirer des leçons de cette expérience afin de se préparer de manière plus rigoureuse pour les prochaines compétitions.
De plus, il est important que les clubs congolais travaillent sur leur organisation et leur gestion afin d’améliorer leur compétitivité sur la scène africaine.
Par Gédéon ATIBU