Comme 2018, José-Marie Ifoku vient de se jeter à l’eau. Comme promis, la présidente de l’Alliance nationale des élites du Congo (ANC) a déposé le dossier de sa candidature à la CENI en prélude de la présidentielle de décembre prochain.
Bien qu’ayant perdu lors de derniers scrutins, l’ambitieuse n’est ni défaitisme ni fataliste. Elle croit dur comme fer qu’elle peut toujours l’emporter dans cette bataille de titan qui grouille d’hommes.
L’opinion la présente comme la vraie définition d’une femme battante, car elle sait braver les hommes et vaincre sa timidité et son scrupule. Elle est d’ailleurs la toute première femme, peut-être même la seule, à s’aligner.
La candidate prône le changement, la rupture avec les antivaleurs qui rongent le pays depuis plus de 60 ans. Elle veut faire le balayage par « la kombolisation », son crédit et son idéologie.
Très critique vis-à-vis des régimes passés qui ont assis la prédation, Ifoku se veut la candidate de la rupture et de la renaissance du Congo.
Par la Radio de la femme