En lui coule le sang pur de la société civile et du renouveau. Grâce à son profil d’un pontentat sérieux à la magistrature suprême, Floribert Anzuluni a été désigné candidat à la prochaine présidentielle de décembre 2023. C’etait au cours de la convention nationale du Parti politique Alternative Citoyenne ce lundi 11 septembre à Kinshasa.
Plein de volonté et d’ambition pour changer le Congo, Floribert Anzuluni, ancien coordonnateur du mouvement citoyen Filimbi, se prépare à la conquête du pouvoir en RDC.
De nombreux congolais croient en ce rêve dont la réalisation dépend de leur engagement pour un nouveau Congo. Objectif atteignable, qui passe impérativement par la rupture du système de gouvernance prédateur qui a détruit ce pays depuis des décennies.
«Notre ambition est d’une part, de rompre avec le système de gouvernance prédateur qui a pris le pays en otage depuis tant d’années et se perpétue, et d’autre part, de proposer un projet de refondation qui tient compte des défis, priorités et problèmes réels auxquels les citoyens sont confrontés. Le Contrat Social récemment publié par le réseau de la société civile Po Na Congo, Contrat auquel notre Parti a déjà formellement adhéré, reprend l’essentiel de ces problèmes prioritaires», a déclaré Floribert Anzuluni.
Pas de complexe pour l’Alternance Citoyenne qui sait d’ores et déjà à quoi s’attendre. Prenant la parole, le Secrétaire national exécutif, Olivier Kabuya croit fort à une large victoire à tous les niveaux lors des joutes électorales prévues en cette fin d’année.
«Nous avons la certitude que notre parti Alternative citoyenne fera élire des candidats lors des élections de 2023. Nous avons la ferme conviction que notre parti, ayant aligné des candidats députés nationaux, provinciaux, municipaux et même au niveau de la Présidence de la République, remportera haut la main ces échéanciers», a-t-il souligné.
Fort de son engagement pour un Congo nouveau, dans le mouvement citoyen, Floribert Anzuluni Bembe était, il y a peu, sollicité par plusieurs mouvements citoyens à se représenter à la présidentielle de décembre prochain. Combattant acharné de la démocratie et de l’État de droit, il brrûle d’envie pour redonner au peuple congolais sa dignité et son honneur.
Pour rappel, ce parti politique issu de la société civile a aligné 326 candidats à la députation nationale, 392 à la réputation provinciale dans 17
provinces et 233 au niveau communal, parmi lesquels 50 % des femmes.
Par Gédéon ATIBU