La Fondation Totelema sensibilise les femmes et filles de la ville de Kinshasa et de la République démocratique du Congo en général, à la dénonciation des actes de violences psychologiques dont elles seraient victimes dans leurs milieux.
D’après la Présidente de cette structure Espérance Palata, la dénonciation permet aux femmes victimes d’éviter de développer la dépendance affective.
Cette activiste des droits humains estime que cette catégorie des violences basées sur le genre ne doit pas être négligée par la communauté au regard de ses conséquences sur les femmes qui sont les premières victimes.
«Il ne faut pas sous-estimer les violences basées sur le genre (VBG), surtout les violences psychologiques (correction de la précédente parution) dont sont victimes plusieurs femmes. C’est pourquoi j’appelle à dénoncer pour sauver les victimes de la dépendance affective», a déclaré Espérance Palata, activiste des droits des femmes.
Dans la foulée, Espérance Palata appelle les uns et les autres au changement des mentalités et comportements dans leur vie quotidienne en luttant contre toutes formes de violations des droits des femmes.
Pour elle, la femme est une partenaire à traiter dignement car ayant des atouts susceptibles de contribuer au développement de la société.