Pendant deux jours, soit du mardi 10 au mercredi 11 décembre, plus des 60 agents communautaires en santé animale et environnementale ont renforcé leurs capacités sur la surveillance en situation d’urgence.
Parmi les multiples modules abordés, la communication sur le risque en situation d’urgence, l’engagement et la participation communautaire dans les urgences sanitaires, la stratégie de communication pour lutter contre les maladies animales et zoonotiques.
Journaliste à la Radio de la Femme, Blanche Abossali, facilitatrice de ces assises, a laissé entendre que pendant cette période des urgences sanitaires, où la province fait face aux épidémies notamment de MPOX, il est impérieux de capaciter les ACSA et ECOGARDE sur la communication de risque pour mettre hors état de nuire les épidémies.
«Nous devons être formés pour informer entant réel sur les maladies zoonotiques afin que la santé de tous soit assurée. Dans toute action que nous posons, la communauté doit se retrouver au centre. Aucune décision doit être prise sans son accord. Ainsi pour bien communiquer en période de crise il faut savoir communiquer au temps de paix. Écoutez la communauté, donnez la, la parole et faites la participé dans la prise des décisions. Car c’est seulement la communauté qui peut t’informer en tant réel d’évolution de la maladie.», a-t-elle confié.
Notons que plusieurs autres modules étaient développés par le coordonnateur de l’approche une santé dans la Tshopo Tite Lina et le coordonnateur de service national d’épidémie Surveillance François Cirigwui.
Rédaction