L’Union congolaise des femmes de Médias (UCOFEM), a lancé mercredi 13 novembre dans la ville de Mbandaka, dans l’Équateur, d’éveil de conscience des femmes sur l’intégrité professionnelle face au phénomène «sexe de la femme, monnaie de change».
Lancée dans la salle Bakanja Isidore, cette campagne est organisée dans le cadre du Programme d’appui à la réforme de la Justice phase 2 (PARJ2).
Gisèle Wengela, coordonnatrice provinciale de l’UCOFEM, a laissé entendre que cette dernière permet de faire connaître aux femmes leurs droits et de dénoncer tout cas d’abus dont elles sont victimes.
D’après elle, les femmes sont souvent victimes des abus, violences, harcèlement de la part des acteurs de la justice devant les instances judiciaires car ayant le besoin de pouvoir remporter une action en justice.
Face à ces actes qui ternissent la dignité de la femme, l’Ucofem croit fermement que cette campagne est un moyen par excellent pour les femmes et d’autres acteurs impliqués de lutter contre ces actes par la dénonciation des auteurs.
Pierre Nkumbaye